Que se passerait-il si Emmanuel Macron démissionnait ? diffusé par Le Point – Politique le
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Après Michel Barnier, menacé d’une motion de censure, au tour du chef de l’État de faire ses valises ? Nous n’en sommes pas encore là… Mais depuis quelques jours, élus et politiques de tous bords mettent la pression sur Emmanuel Macron et n’hésitent pas à avancer l’hypothèse d’une démission du président de la République, déjà brandie cet été lors des 50 jours sans Premier ministre. Mais que se passerait-il en cas de départ volontaire d’Emmanuel Macron ?
C’est l’article 7 de la Constitution qui précise les contours législatifs d’une telle situation. Celui-ci évoque la « vacance » du chef de l’État et prévoit que, dans ce cas de figure, les fonctions exécutives soient provisoirement exercées par le président du Sénat (en l’occurrence, actuellement, Gérard Larcher) ou, si celui-ci est empêché, par le gouvernement.
À LIRE AUSSI « Ils sont complètement cons » : Emmanuel Macron sans filtre sur Haïti Le rôle provisoirement occupé par ces deux fonctions ne serait qu’un rôle intérimaire, de gestion des affaires courantes et d’organisation de l’élection. « L’élection du nouveau président a lieu, sauf cas de force majeure constaté par le Conseil constitutionnel, vingt jours au moins et trente-cinq jours au plus, après l’ouverture de la vacance », explique encore le texte de loi. Le mandat des députés resterait, lui, bien en place. Aucun référendum, aucune révision constitutionnelle et aucune dissolution ne pourraient être décidés dans cet intervalle.
« Plus rien ne fonctionne »
Mercredi 27 novembre, c’est le député centriste et rapporteur général du budget à l’Assemblée, Charles de Courson, qui a lancé une première salve. Sur LCI, il s’est interrogé : « Qui est à l’origine du chaos politique ? C’est bien le président de la République lorsqu’il a fait cette dissolution que même ses propres amis n’ont pas comprise. » Il cite l’exemple du général de Gaulle, « qui a eu le courage de démissionner » après l’échec de son référendum sur la réforme du Sénat et la régionalisation, en 1969. Seule démission d’un président français sous la Ve République.
À LIRE AUSSI Hollande enterre définitivement l’option Castets à Matignon en cas de censurePour lui, la France se trouve dans une « crise institutionnelle » et « plus rien ne fonctionne ». Même son de cloche le même jour, mais cette fois du côté du maire de Seaux et membre des Républicains, Jean-François Copé, pourtant du même clan que Michel Barnier. Invité sur BFMTV, il a d’abord tempêté contre une dissolution « qui ne ressemble à rien et dont on paye tous les jours le prix ».
« Le départ de Macron est la solution pour clore la crise »
« Il n’y a plus qu’une solution, c’est une nouvelle élection présidentielle. Il faut qu’elle soit anticipée », a-t-il jugé, estimant que le chef de l’État « ne s’est pas rendu compte qu’il ne peut pas tenir jusqu’en 2027 ». D’autant que son camp fourbit ses armes et que les prétendants à l’Élysée, entre Barnier, Retailleau et Wauquiez, pourraient ne pas manquer.
Il en est un autre qui ne peut cacher une certaine envie d’une présidentielle anticipée : Jean-Luc Mélenchon. L’ancien député, toujours très influent au sein de La France insoumise (dont la niche parlementaire s’est ouverte aujourd’hui à l’Assemblée), a publié une note de blog, jeudi 28 novembre. Il se félicite que « dans les esprits, non seulement le départ de Macron est la solution pour clore la crise créée par lui. Mais il y a aussi la certitude de voir ce dernier réduit à une totale impuissance, parce qu’il n’a plus aucun crédit ou influence politique ni en France ni dans le monde ».
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Dans cette appel à la démission, ces politiciens pourraient bien convaincre une majorité de Français. En effet, selon un sondage publié par BFMTV, 63 % des citoyens sont favorables à la démission d’Emmanuel Macron en cas de censure du gouvernement. Un souhait largement partagé par les électeurs du RN (83 %) et ceux du Nouveau Front populaire (76 %), mais aussi par une partie des électeurs Les Républicains (48 %) et même 27 % de ceux d’Ensemble pour la République.
Le Premier ministre pourrait tomber de son piédestal avec une motion de censure votée par le RN et le NFP (y compris le PS), et le budget pourrait ne pas être voté avant Noël. Le président de la République, garant des institutions, prendrait-il alors le risque de démissionner et de plonger peut-être, un peu plus, la France dans une crise politique ?
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